mercredi 9 janvier 2013

Série: Spartacus

Bonjour


Aujourd'hui je vais vous présenter une série que j'ai particulièrement appréciée, il s'agit de Spartacus.

Titre original: Spartacus
Nombre de saison: 2 diffusées aux Etats Unis, 1 en France, la troisième sera diffusée aux Etats Unis en 2013
Durée moyenne d'un épisode: 50 minutes
Genre: péplum, historique, drame
Type de public: averti

Synopsis:
Spartacus, guerrier Thrace est fait prisonnier et est revendu à l'école des gladiateurs du politicien Batiatus. Sa seule chance de s'en sortir un jour est de devenir le meilleur dans l'arène de Capoué pour pouvoir acheter sa liberté. Mais avant de survivre à l'arène, il lui faut déjouer les pièges du quotidiens, les manigances des maitres de l'école et la haine des autres gladiateurs.

Mon avis:

Oubliez tout ce que vous aviez déjà vu sur Spartacus. Dans la lignée de la série Rome pour le côté luxure et décadence, mais aussi du film  300 pour les effets visuels, cette série vous emporte au delà de ce qui a été fait jusqu'à ce jour.
Je suis tombée sur cette série vraiment par hasard car sa pochette a attiré mon regard dans un souk de Casablanca.
J'ai gardé le nom, acheté la série et je l'ai complètement oubliée pendant 2 mois.
Un jour d'ennui je ressors ce coffret, mets le premier dvd dans le lecteur et là c'est le choc.
je me suis retrouvée complètement plongée dans cette période, les décors sont bien faits et les acteurs ont clairement bien investis leurs personnages.
J'avais déjà regardé la série Rome donc je pensais avoir tout vu en matière de décadence mais là c'est un cran au dessus. Sans aller vers le pornographique, rien ( vraiment rien si vous voyez ce que je veux dire *clin d'oeil*) ne nous est suggéré.
Les combats dans l'arène sont aussi très violents et les effets sanglants stylisés à l'extrême.
Pour la larme à l'oeil, des intrigues amoureuses sont nouées en parallèles et on découvre que sous certaines brutes se cache un coeur tendre, mais aussi que sous certaines apparences délicates se cachent des vraies brutes. Je ne veux pas aller plus dans le détail sous peine de relater des moments clés maison est surpris par ce que peuvent faire certaines personnes.
On finit par s'attacher aux personnages mais aussi par les détester car cette série nous montre que sous le vernis de la civilisation, l'homme se comporte souvent comme un animal.



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